« Le BDSM club spanking de Fessestivites organise une soirée dédiée aux adeptes des jeux. Que ce soit à la roulette, aux cartes, ou aux jeux en ligne, si vous aimez aussi jouer avec vos fesses cette soirée est faite pour vous. Vous ne vous endetterez pas et pourrez vivre vos passions ».

Cette annonce a titillé ma libido, et comme je suis très (trop) joueuse je n’ai pas pu résister à la tentation. Il était trois heures du matin quand j’ai décidé de réserver, ça c’était juste avant que j’aille me coucher et .... pour éteindre le feu qui couvait en bas. Le lendemain, n’étant plus excitée du tout, je me suis demandée si je n’avais pas fait une bêtise.

100% des gagnants ont tenté leur chance, qui sait, peut-être que je rencontrerai le fesseur de mes rêves : un bel apollon, gentil, riche, attentionné, beau et bon fesseur et au dodo. Bon, ok je rêve mais rêver, c’est comme fantasmer, cela ne fait pas de mal.

A mon arrivée au club privé, il y avait déjà pas mal de monde. La maison était transformée en véritable tripot clandestin, avec des tables de jeux, une roulette et des jeux de société d’ABCplaisir. Ce qui m’a amusée, c’est d’apercevoir et surtout d’entendre, que dans la pièce d’à côté, il y avait un perdant. Entravé sur un banc à fessée, un mec s’en prenait une bonne devant des spectateurs amusés. Ouf, ouf ouf me suis-je dit, car j’ai aussitôt pensé à quoi je m’exposais.

Après avoir pris un verre, je me suis inscrite aux jeux olympique de la fessée. Pour la circonstance, ils avaient changé les règles afin que le jeu ne dure pas des heures et pour que tout le monde puisse y jouer. Le ou la gagnante était le premier arrivé, le ou la perdante, la dernière. La première personne était celle qui donne la fessée, la dernière celle qui la reçoit sauf si c’était un Maître. Une entorse à la règle que j’ai essayé de discuter par principe, au regard du Maître des lieux, j’ai compris que ma tentative de négociation était inutile.

Aussi excitée qu’une gamine au salon du jouet, je me suis assise à la table de jeu. J’ai fait un six pour mon premier lancé de dé ce qui m’a permise de distancer tout le monde. Provocatrice comme à mon habitude, j’ai pavané et branché la fille et le mec jouant avec moi au côté d’un fesseur aux yeux sadiques. Il était gentil, courtois mais très pervers, c’était palpable. La chance a de suite tourné au point que je me suis demandée si le dé n’était pas pipé quand c’est moi qui jouait. Il ne donnait que des un pour moi ! La provocatrice n’en menait pas large et ce qui devait arriver arriva. La nana a qui j’avais dit qu’elle risquait d’avoir du mal à s’asseoir a gagné. En guise de beau mec,..... une fille. La haine !

Fidèle à ses valeurs d’impartialité (sauf pour les Maîtres et fesseurs patentés) le responsable du BDSM club spanking de Fessestivites m’a alors invitée à me rendre à l’ordinateur afin que le hasard décide l’instrument de ma fessée et le nombre de coup.

La Roulette de la fessée : Instruments a désigné le paddle Saku. J’en avais entendu parler sur le forum fessée et cela ne me disait rien. J’aurai préféré une fessée classique à la main.

La Roulette de la fessée nombre de claques a désigné 160 claques. A ma mine déconfite, ma fesseuse jubilait quand elle m’a indiquée « ce n’est pas moi qui va avoir du mal à m’asseoir ».

Piégée, j’étais piégée car tout le monde regardait la petite nouvelle, à savoir moi. Dans l’absolue, je pouvais refuser mais c’était me griller à vie et passer pour une fantasmeuse ne jouant que la provocation. Ma fierté ne m’a pas laissée le choix, il était hors de question que je me défile. Tremblante de la tête aux pieds langue de vipère comprise, je me suis laissée guider vers le banc à fessée où la garce m’a entravée avec un sourire de vampire affamé posé sur ses lèvres.

La garce m’a déculottée ! Je ne m’y attendais pas, pour moi, elle n’allait que relever ma jupe. La honte s’ajoutait à mon manque de chance car, outre le fait que c’était ma première fessée était publique, en plus, c’était cul nu ! Vampirella a commencé par caresser mes fesses en me disant que c’était dommage de tanner un aussi beau fessier. Lorsque le premier coup de paddle est tombé, j’ai aussitôt compris que cela allait « piquer ».

• Celui-la, c’était juste pour que tu fasses connaissance avec un paddle Saku, maintenant, je vais te faire voir sur l’autre fesses quand il claque vraiment !

En résumé : clac = Aouhouaaaaa ! ce n’est pas très littéraire mais un bon résumé ! Ma fierté m’interdisait de crier, de me plaindre, mais sous les dix suivants, les muscles de mes mâchoires m’ont clairement menacée d’une grève surprise. Après une petite pause de quelques seconde, Vampirella a repris tranquillement son ouvrage consistant à me faire craquer. Mes fesses s’embrasaient, mes mâchoires laissaient passer mes petits cris, mes yeux s’embuaient, mes mains devenaient bleues tant je serrai les poings.

La sadique m’a faite hurler en s’amusant à griffer mes fesses.

• Je ne pense pas pouvoir aller jusqu’à 160 claques, tes fesses ne sont pas habituées, je vais te détruire et ce n’est pas le but recherché. Je n’en suis qu’à 80 claques, mais comme je n’arriverai pas à 160 sans te blesser je veux une compensation !

• Tu veux quoi salope ? (Oups, j’aurai pas du ) !

La claque que Vampirella m’a mise avec le paddle m’a fait hurler.

• Comment ?

• Je n’ai rien dit ! Je demandais ce que tu voulais comme compensation ?

• Te faire jouir !

• Pardon ?

• Tu as bien entendu !

Entre me faire casser le cul, (pardon du mot) et jouir, sans réfléchir plus d’une milliseconde j’ai répondu « oui ». C’était sans réfléchir.... Sans penser que cela pourrait être devant tout le monde ! ! ! Elle m’a plantée là pour aller cherche un magic wand massager. A son retour, je l’ai suppliée de ne pas le faire devant tout le monde. A priori, Vampirella avait des problèmes d’acuité auditive car ni une ni deux, elle l’a placé sur mon abricot accessible, pour cause de cuisses maintenues écartées sur le banc à fessée. Mes suppliques n’ont servi à rien, au contraire, pour me faire taire, elle s’est remise à griffer mes fesses incandescentes. (Cela calme)

Résignée, j’ai fini par me taire, par oublier ma honte pour me concentrer sur .... la boule qui vibre voyons. Au lieu de griffer mes fesses, elle s’est mise à griffer mon dos avec douceur. Si Vampirella est un personnage de fiction créé par le scénariste Forrest J. Ackerman et le dessinateur Frank Frazetta en septembre 1969 pour l'éditeur Warren Publishing, je peux vous assurer qu’elle savait en réel s’occuper des femmes. La garce a réussi à m’avoir, je n’ai pas pu, ni réellement voulu résister. Quand la vague jouissive est arrivée, je serrai à nouveau les mâchoires et les poings pour ne pas crier, pour être discrète mais cela n’a pas marché ! Et pour cause, la salope a laissé le magic sur mon petit bouton du même nom. J’ai littéralement implosé devant tout le monde sous un tonnerre d’applaudissements. Difficile de passer inaperçue !

Un quart d’heure plus tard, après avoir été libérée, presque câlinée, je suis allée voir l’état de mes fesses dans la salle de bain. J’ai eu peur ! Elles viraient au bleu et c’est là que j’ai compris que Vampirella n’était pas si méchante que ça.

Pour le reste de la soirée, je me suis abstenue de jouer et de provoquer, vous comprenez pourquoi !

Fin

TSM

Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

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